Les Contrepèteries de JSGC

I-J...

Ici les âmes s'élèvent avec effroi.
Ici on trouve des canisses coupés pour militaires.
Ici se trouve la colline des pères jésuites.
Ici, c'est les sœurs qui chantent sachant que les vêpres coûtent.
Ici, ce n'est pas l'Alsace, les gens d'Eglise doivent jouer des coudes pour se faire payer.
Ici, la politique est de ne pas montrer ses tresses aux sœurs !
Ici, les scouts s'amusent avec les jeux des camps.
Ici, on fait prier les électeurs.
Ici, on vote avec des cierges.
Ici, un rapin a biné.
Ici, verse les neiges.
Ignorant la cirrhose du foie, Louis XVI cherche un vieux Bordeaux au goût de mirabelle.
Ignorez-vous la phobie de ceux qui nous lèsent ?
II se sent auréolé chaque fois qu'il met sa calotte.
Il a battu un record en touillant.
Il a braqué sa femme en la quittant brutalement.
Il a choisi le cran du kyste.
Il a découvert une caverne derrière la rizière.
Il a décrit une thèse sur la bible.
Il a dit : "Je reviendrais libre en chair !".
Il a dû déposer son bilan pour redresser la cote.
Il a envoyé sa Bible à la tête !
Il a envoyé sa fournée dans la tente.
Il a été dit : "les Français sont des veaux !"…quand ils comptent ?
Il a été surpris par le bond de la crue.
Il a eu ce bon vin grâce à un devis.
Il a exploré le fond de la Creuse.
Il a exploré les sources du Bide.
Il a fait sa thèse sur le béton !
Il a fait une ballade sur les sites.
Il a horreur des sentes sans fin.
Il a jugé sans toi.
Il a la trouille des coquets.
Il a le pif matheux !
Il a marché sur ma natte !
Il a mis sa glu sur son bran.
Il a pénétré la grotte Puce.
Il a pied dans ces charentaises !
Il a pris son pif pour lui coller des baffles.
Il a prouvé que la terre était ronde.
Il a rogné sur les coupettes.
Il a sorti Sabine pour l'apaiser.
Il a toujours l'Afrique en tête.
Il a trempé l'habit scout dans l'Hérault.
Il a trottiné dans la pente.
Il a trouvé un ampli pour sa boite.
Il a une peine à lire !
Il a vu la symphonie.
Il a vu les nanas, ce savon et les slots !
Il abritait les mouches !
Il aimait l'art de l'auréole de ses, heu !, dessins.
Il aime la grotte de La Mecque.
Il aime le silence des grotte, parce qu'il déplore la foule.
Il aime les lignes et les flèches dans cette cathédrale.
Il aime les messes et il est bien cambré.
Il aime se faire citer, ce ballot !
Il aime toucher des sommes mensuelles...
Il apprécie l'élu et les locaux.
Il apprécie ses cops de Valence !
Il arrivait à pied par la Chine.
Il arrive à pied, mais non sans chaînes !
Il arrive aux quêteurs d'empocher des brutes.
Il arrive qu'une plaquette soit crottée.
Il astique les smiles.
Il attend et il boude !
Il aurait fallu une sacrée mousse pour cacher ces silex.
Il avait peur que sa mue la perde.
Il avance vers la chute à grand pas.
Il bascula sur le terrain de l'enquête.
Il bine avec sa pelle.
Il boude en descendant.
Il branche sa pile jaunie à l'accus du fond, tandis que le néon provoque l'allégresse.
Il cause bien ce baigneur.
Il chasse les mouches des colonnes.
Il cherche à se faire coter, l'affreux.
Il choisis les fils et les ampoules, et sa femme fait la connexion des piles.
Il choisit la date pour entrer dans l'abîme.
Il chope la rame et les bascules.
Il codait pour ces groupes.
Il comprends, c'est sûr !
Il connaît le tiers de l'Afrique.
Il connaît tous les noms de lieux.
Il consacre son jeu à la noix !
Il coupe l'élu pendant son discours.
Il courait tant de buts divers qu'il en perdait sa belle mine.
Il court, il court, le furet.
Il craint de manquer de fric, c'est tout.
Il crawle près du fond.
Il croit à la fiction des messes.
Il cuvait quand les flics l'ont emballé.
Il débrancha, et se laissa couler.
Il découvre du son dans le câble.
Il déplore la foule.
Il descendait entre deux bains.
Il détecte, ce sonar.
Il déteste les gants qui plissent.
Il donnerait toutes ces vieilles briques pour une belle lucarne.
Il dresse sa bête à lire.
Il écorchait l'hébreu et sa femme l'écossais.
Il écrit des faux sur les messes.
Il embrasse la Marion sur le quai.
Il empile son fer.
Il en a buté une religieuse sans faire de calage.
Il en a marre des pains, alors il se met au vert.
Il en a un pour le tennis, c'est un jeu à la Noah !
Il en perdait sa belle mine.
Il envoie son dur dans les pattes !
Il essaya vainement de prendre la flûte de pan.
Il est à la tête de l'Afrique.
Il est acculé dans l'antre.
Il est aise de distinguer le fond des caisses.
Il est arrivé à pied devant le chêne !
Il est arrivé à pied par la Chine.
Il est assez rare de voir un évêque plutôt grêle rêver de bordeaux.
Il est bien connu que le doute égare et que les faibles sont douces !
Il est bon de ne pas se quitter.
Il est bon et malaisé.
Il est chou, ce gros Bic !
Il est cocu et parle de Pétain.
Il est conseillé aux papes d'avoir une mine papale !
Il est défendu aux dames patronnesses de quêter sur un pliant.
Il est des contrées où l'on préfère les mites aux bolets.
Il est difficile de trouver la paix au milieu des jurons.
Il est émouvant de voir le pétarader derrière le char.
Il est en face de la poutre.
Il est en quelque sorte un coureur de fond.
Il est en train de graver la notice.
Il est encore gris après m'avoir tamponnée !
Il est fâché, et il s'envoie de la topette !
Il est guindé devant les cathos.
Il est impératif de renouer avec les joies d'antan.
Il est impossible de faire confiance à qui vous crache à la face.
Il est interdit d'encoller les murs du cimetière.
Il est interdit de fumer mais on se relaxe en tirant sur les sèches !
Il est interdit de jurer si l'on se tend à l'office.
Il est interdit de parler de mythes à l'abbesse.
Il est interdit de quitter les bateaux !
Il est interdit de quitter les bateaux en mer !
Il est interdit de représenter Marie en fière altesse.
Il est interdit de scier sur le chantier.
Il est long pour prêcher.
Il est mol de foi.
Il est mort d'épuisement dans un trou: il n'y a que les bons qui nous quittent.
Il est parqué à la mine.
Il est plaisant de voir les flics trotter !
Il est rare de voir que le pape Benoît dans l'ascèse.
Il est recommandé de brûler les cierges trouvés lors de l'ascension.
Il est si vieux.
Il est toujours pénible, pour un concierge, d'être éveillé brutalement.
Il est trop bon pour la quitter.
Il est trop bon, avec ses courses !
Il est utile à ceux qui cherchent des postes.
Il examine ces problèmes mais il a l'habitude.
Il exige les durs et les femmes !
Il fait beau et chaud !
Il fait beau et chaud.
Il fait ces allusions dans la nef.
Il fait chaud, la supérieure est tentée par la pelouse.
Il fait cuire le juré !
Il fait goûter son vin au roumi.
Il fait ses prières à Shiva.
Il fait si froid que le pape réchauffe son vieux gant qui plisse.
Il fait une thèse sur la bouffe.
Il fait une thèse sur la pub.
Il fallait bien du courage pour parvenir au but.
Il fallait dire: "le lard" !
Il fallait être deux pour agacer les chrétiens.
Il fallait le voir Obama en plein dans le show !
Il fallait voir quelle bille il faisait.
Il faudra bientôt une calotte pour pêcher !
Il faudrait braiser ces pinces.
Il faudrait cintrer ce chapelet.
Il faudrait faire banquer ces deux-là !
Il faudrait l'amarrer ce bourrin !
Il faudrait laquer ces vues !
Il faudrait toujours sommer, tu veux Mathor !
Il faudrait un Dieu décapant pour nettoyer la curie romaine.
Il faut au général un troupier pour forcer le pont.
Il faut avoir un bon tennis pour une partouze, mais que de temps perdu pour la partouze.
Il faut beaucoup de cœur pour atteindre son but.
Il faut bien calmer la saoule.
Il faut bien des codes pour s'infiltrer dans les groupes de religieuses.
Il faut brancher les fils.
Il faut caresser le chat du Berry.
Il faut cesser l'abus de vin.
Il faut changer les pots de taurine.
Il faut changer les terrines de pots.
Il faut chanter les mentules en cœur !
Il faut chauffer le fer de la vierge.
Il faut choisir entre la fine et l'épaisse.
Il faut connaître les us, coutumes de saint Phalle !
Il faut couper les nouilles au sécateur.
Il faut d'abord déglacer l'épaule.
Il faut de fortes bottes aux dames de la Piste.
Il faut de saines distractions à la jeunesse : l'abbé à pince-nez le professe.
Il faut démêler la corde.
Il faut des miracles pour faire passer le coup de la grotte aux chrétiens du fond.
Il faut des qualités pour enfiler sa botte.
Il faut des qualités pour recevoir des popes.
Il faut du courage pour arriver au but.
Il faut élever le chiisme d'un cran.
Il faut être bien sûr pour débattre sur la religieuse.
Il faut être bien triste pour résister aux cantatrices.
Il faut être habile pour survivre à une telle déroute.
Il faut être peu pour bien dîner, parait-il, mais Janus seul dînait mieux avec deux parts.
Il faut être peu pour bien dîner.
Il faut être pur pour dîner !
Il faut faire attention à l'âge du vaccin.
Il faut faire montre de ses joies à Noël.
Il faut jeter les bons et les mauvais auspices dans l'évier...
Il faut jouer des coudes pour se faire payer.
Il faut le faire sécher au soleil.
Il faut le récépissé après l'élection.
Il faut l'épicée, pour honorer la noce.
Il faut mettre la main à la patte mon cher.
Il faut mettre les politiciens au pas de Marine.
Il faut ouïr & cogito ergo sum !
Il faut pas lâcher les durs.
Il faut passer le cap se disent les "bouffeurs de curés".
Il faut potasser les rites sur ces bouquins.
Il faut prendre les choses en riant.
Il faut que ce bouquin rende.
Il faut que junon batte saturne.
Il faut que les jésuites baillent aux urnes.
Il faut rassembler beaucoup de fonds pour former des cliques.
Il faut réduire les mines de Poitiers.
Il faut rester petit car les grands ressentent le souffle de l'enfer.
Il faut retrousser la culotte pour enfiler les patins.
Il faut sa quête pour allonger sa moquette.
Il faut savoir juger un homme sans dépasser les bornes.
Il faut savoir prendre les choses en riant !
Il faut savoir qu'un téléthon est forcément d'un grand cru.
Il faut savoir tirer un trait d'un seul coup, explique l'arbalétrier.
Il faut sceller le trou avant la fondation.
Il faut se quitter sur le banc disait souvent l'aumônier scout.
Il faut sécher cette belle Lara !
Il faut voir ce que les finances mettent à Noël.
Il faut voir l'évêque aux messes.
Il faut voir la pêche du pape quand il rit.
Il faut voir le pape François 1er et ses bains de foule.
Il flétrit mes Ave d'une parole amère; amène ?
Il fut avide de sons calés.
Il habite dans les bois.
Il habite la terre...
Il imagine l'EDF sans cesse !
Il jette à la rue.
Il jette avec puissance.
Il jouait au criquet qu'il battait.
Il l'a retrouvé, le concierge.
Il l'a prise au cou par dessus.
Il l'accuse dans votre canapé !
Il l'apaise en la berçant.
Il l'avait conçu.
Il le dit à deux femmes.
Il le séchait.
Il les lâche dans la pente et c'est un tort.
Il lui a donc bien tout tracé la voie le dalaï-lama.
Il lui a montré la Tour de l'Abîme.
Il lui faudra bientôt une calotte pour pécher.
Il m'a décrit son grand bi en vocal...
Il m'a fait mander à bord.
Il m'a montré sa botte ce midi !
Il manque une burette, l'enfant de chœur a volé la fiole.
Il me fait ça comme un copain, c'est la mode !
Il me passe le mot.
Il me presse, c'est un gros !
Il me priait pour regagner le plus mâle ...
Il me tire la botte !
Il ment d'abord.
Il ment debout.
Il mérite d'être payé pour ce coup !
Il met sa botte ici.
Il met souvent son pif dans les failles.
Il mettait le produit de ses fouilles dans des caisses.
Il meut la corde.
Il montre des photos dans le couloir.
Il montre sa bête à la miss.
Il montre sa cassette et ses suppôts.
Il montre sa vierge en fer.
Il n' y a que la vérité qui blesse.
Il n'est jamais trop tard pour faire des lallations.
Il n'est plus possible de jouer au couvent car les cartes sont abimées.
Il n'est resté qu'une minute sur le quai.
Il n'existe pas de suaire d'obèses.
Il n'y a aucune feuille d'acanthe chez les jésuites.
Il n'y a pas assez de cachot dans l'Etat.
Il n'y a pas de suaire pour l'obèse !
Il n'y a pas deux œufs sous ce bob.
Il n'y a pas qu'à la campagne que les prêtres pédophiles encuvent avec des lotions.
Il n'y a pas qu'en Australie que parfois l'aborigène...
Il n'y a pires truqueurs que ces jésuites.
Il n'y a qu'un pas du clan au groupe.
Il n'y a qu'une rime où la botte maque le chant.
Il n'a pu se faire prêtre car il ment mal.
Il n'aime pas les pentes qui tuent.
Il n'aime pas qu'elle parte pendant les ventouses.
Il ne cessait de pester, c'était tard !
Il ne cesse de frotter tout en courant !
Il ne cesse de pousser le niveau !
Il ne conçoit pas l'ascèse sans bible.
Il ne faut jamais basculer sur le terrain de l'enquête, déclarait le vieux limier qui n'arrêtait pas de fumer.
Il ne faut jamais penser s'endetter.
Il ne faut pas casser son lumignon.
Il ne faut pas chourrer le bien du voisin.
Il ne faut pas couper les nouilles au sécateur !
Il ne faut pas emmêler cette kurde.
Il ne faut pas juger le pichet sur la mine.
Il ne faut pas manquer l'élection du grand.
Il ne faut pas mettre la tête de son lit dans les vitres.
Il ne faut pas pisser en rêvant sur un gros radis.
Il ne faut pas que les assurés se taisent lorsqu'ils manquent de bonus ! Soyez gentille, effacez mon malus !
Il ne faut pas qu'on l'embête avec cet Hercule !
Il ne faut pas retarder la messe.
Il ne faut pas secouer les nouilles quand on envisage une escalope avec une belle salade.
Il ne l'a même pas lattée, quel ouvrage !
Il ne pense qu'à tagguer avec ce gros temps !
Il ne peut pas se passer de vaccin dans les régions où il est.
Il ne sait pas bien compter, ce Monod.
Il ne s'intéressait qu'à l'Etre, et Moïse !
Il ne suffit pas que tu boudes, il faut aussi que tu penses !
Il ne veut pas être cité, ce ballot !
Il ne veut pas qu'on le chipote quand il trie.
Il neige, habitués aux flocons, les jésuites sortent leurs gants.
Il n'est pas difficile de mettre les chèques en valeur.
Il n'est pas doux avec les péchés.
Il n'est pas facile de faire dînette sans manger.
Il n'est pas toujours agréable de suivre les messes d'évêques.
Il n'est pur à Nice que ce jésuite !
Il nie avoir ramené des fonds opaques.
Il nous a quitté, mais j'ignore dans quel but.
Il nous faut des guides et des popes.
Il nous présente sa belle-mère palpable.
Il n'y a pas de cesse dans cette profession.
Il n'y a pas de quoi, ma soeur, pour un si petit don !
Il n'y a pas de sites sur la Beauce.
Il n'y a pas moyen de chasser l'Emile de la grange d'Annette !
Il n'y a pas que de bons cotés au concours hippique.
Il n'y a pas une minute à perdre.
Il n'y a rien de meilleur que le goût de Mont-Blanc.
Il parle de la cause ce bouquin.
Il parle de Lucette et se fait sevrer.
Il parle de ses potes en regardant ces journaux.
Il pêche à la ligne ?
Il peine sur la côte.
Il pénètre la grotte, pugnace.
Il pénètre une faille sur le pilier.
Il pétrit le béton à la tonne.
Il peut m'en coûter si je brûle en enfer.
Il peut se les gratter, ces matos !
Il pleut, la bête s'est fait saucer.
Il pratiquait la carence dans la fête.
Il préfère ce vieux pou à cette belle faune.
Il préfère jouer à l'ombre plutôt que de rôtir au soleil.
Il prend des notes sur la bible.
Il prend son dur et sa lame.
Il prétend qu'il n'a jamais manqué de probité et qu'il n'a pas peur d'être ponté.
Il prétendait ne pas savoir emballer, quel culot !
Il prie en quêtant.
Il projette sa glotte sur l'écran.
Il rabat sa capuche sur sa botte.
Il ramone la benne pour le foin de la cantine.
Il rase son talus, c'est l'enfer !
Il recherche les fonds curieux.
Il regrette l'apport de sa graisse !
Il repique sur le ricin !
Il réprouve son tennis.
Il retrouve l'amante au foin.
Il rêve de pépées de Chine.
Il scruta profondément le gars.
Il se barre, oh !, de la Tag-House !
Il se battait autour des turnes.
Il se battent dans les cabines.
Il se débrouille pour montrer l'appeau des ses cailles.
Il se faisait toutes ses billes.
Il se fait pompeux devant des licenciés.
Il se joue d'une sacrée verve !
Il se méfie des poisons qui tuent !
Il se sent pâle avec ses maux.
Il secoue sa caissette jusqu'au camp.
Il semblerait que des Inquisitrices aient offert leurs potes au mieux.
Il s'ennuie avec son feu !
Il sent le lard enduit.
Il serait bon avant la coupe que tu écartes les Suisses.
Il s'est coincé la botte contre un silex.
Il s'est collé à la pente en chutant.
Il s'est éclaté la panse en dînant...
Il s'est embouti dans la glaise.
Il s'est fait sauter en plastiquant.
Il s'est orienté à la faveur d'une sente.
Il sort sa baguette et broute le feu à la noce.
Il sortit l'anisette et toutes les pizzas !
Il souffre d'hépatite virale.
Il suivait la procession avant sa constitution de croyant.
Il taquine, ce copain !
Il tente d'introduire la moustache dans la pile.
Il tient des propos aberrants sur la thèse.
Il touchait et parlait des belles silices.
Il tourne rond avec ses bouquins !
Il triche dans bien de cas avec mille deux boites.
Il tricote un pageot.
Il trie mais il chipote.
Il trimballe ses valoches dans la benne.
Il trouva la fouine et la grappa.
Il trouve un manuscrit sur les bars et l'édite.
Il utilise ses pains pour sa belle-mère.
Il va être temps de changer le mat !
Il valait mieux que je la rate... c'est un avis médical !
Il vaut mieux ne pas avoir trop de fric sur soi pour fréquenter les claques.
Il vaut mieux ne pas trop allaiter la biche.
Il veut biser la bibliothécaire sur les lèvres.
Il veut courir sur le mont.
Il veut des bancs.
Il veut miser un seau d'eau pour un catho.
Il veut nous faire pouffer, ce beau !
Il veut pister sa botte? !
Il vide ses fouilles dans la caisse !
Il vit aux champs.
Il voit cette lueur au fond et l'abîme.
Il voit le monde conique.
Il voudrait se changer des maths !
Il y a 2 sortes d'orateurs... les courts et les longs !
Il y a aussi de nombreuses belles dans les émissions Delarue.
Il y a aussi des châsses pour les sectes.
Il y a beaucoup de bons cabots à Taizé !
Il y a beaucoup de sites à bâtir.
Il y a bien des pubs pour l'Eglise sur le titre.
Il y a de jolis sites à bâtir sur ce sujet.
Il y a de la glaise pour le banc du moine potier.
Il y a des cases dans les cavernes.
Il y a des catés où l'on ne parle jamais de fric.
Il y a des failles à Vichy ?
Il y a des mares au village !
Il y a des nonnes sexagénaires dans les couvents.
Il y a des quêteuses bien nippées.
Il y a des résidus de pierre dans la saline.
Il y a des sites sans bosses.
Il y a deux sortes de gendarmes : les courts et les longs.
Il y a deux sources sous le sorbier.
Il y a du vécu au PC.
Il y a du vent dans la rue du quai.
Il y a foule, on s'emmêle dans la curie.
Il y a ici de jolis sites pour bâtir.
Il y a le verbe de dieu pour la religion et les mots des femmes pour la pêche des hommes.
Il y a peu de trous dans les monts du Cantal.
Il y a plein de mecs dans cette grotte.
Il y a plus d'un écu dans le tronc de la vierge.
Il y a si peu de mecs pour faire l'équipe !
Il y a souvent deux Janus chez les jésuites.
Il y a trop de chronopost à la bourre.
Il y a trop de malus à Forbach.
Il y a trop de pub sur les sites pour athées.
Il y a un feu rouge assez long a l'entrée de Tenez.
Il y a un plan pour la Guinée ?
Il y a un tas d'allées aux champs.
Il y a une colombe sur la croix du christ et non un paon sur sa gloire.
Il y a une croix tatouée sur le sein de l'externe.
Il y a une panne de micro dans la pièce du fond, ça brouille l'écoute.
Il y a vu des quêteuses bien nippées.
Il y aurait le long du Tibre des berges verseuses.
Il y avait des durs dans la ville d'art !
Il y avait des fossiles au concert.
Il y avait plus d'un million de cars pour l'élection du rare bain papale place saint Pierre.
Il y plein de grands lustres dans cette cathédrale.
Ils apportent leur pain à la mine.
Ils cherchent à orienter leur job vers les profondeurs zénithales...
Ils cherchèrent sous la cotte de Jeanne mais il n'y avait pas de douilles dans sa cotte.
Ils chutent en riant.
Ils dosent leur part.
Ils fignolent leurs pions.
Ils font de sales mines à chaque coup de pioche.
Ils fournissent leurs bœufs !
Ils habitaient des gîtes ignobles Quai-Branly.
Ils habitent des gîtes.
Ils jouent à la longue dans le camp.
Ils jouent leur néologie aux deux.
Ils mentionnent souvent leur salle annexe au Vatican.
Ils m'ont bouffé la rate, ces chiens !
Ils montrent leur fric à la comtesse !
Ils n'avaient que de vieilles caisses pour ranimer leur feu.
Ils ont fait venir des lits pour l'évêché.
Ils ont laissé leur parts aux dockers !
Ils ont mis leurs doudounes dans leurs guitares !
Ils ont montré leur but à la Turquie.
Ils ont montré leur calvaire à l'unisson.
Ils ont montré leur phalange aux russes.
Ils ont percé l'énorme bas de laine.
Ils ont pris un coup de trop sur leur musique !
Ils ont tiré les jeux des curés !
Ils ont trouvé des gros durs et sensass !
Ils parient sur la chute des anges.
Ils plaisent et se baignent.
Ils présentent leurs mobs sur les arches !
Ils se cognent à l'appas des miss, ces vieux cons !
Ils se plaisent en se baignant.
Ils se taisent devant le buteur.
Ils s'insultent, les cons !
Ils sont bizarres, mais ils ont de grosses têtes !
Ils sont inclassables les All-blacks avec leur Hakka.
Ils sont parfois poussés près de labyrinthes.
Ils sont restés cois devant le Front.
Ils taguent, ces tendres !
Ils vont bientôt nous mettre des fax sur le talus, Sam !
Imaginez ce pieu de pape face aux clients de la Chine.
Imam as-tu vu la voute étoilée ?
Immunité : Chirac, en ayant le bras long, a une bonne couverture.
Impatient, le pape jouait avec sa bile.
Impôts : Chasse aux pécules qui se rentassent.
Impunité religieuse : les curés sont tabous.
Inciter à trouver.
Indexe sûr, le moine suit la ligne de sa bible.
Indulgences : Faux-papiers sur nos chates.
Informatique : Les bouilles, ça coûte.
Inquiétude au Vatican, la pique des gardes suisses est pleine de trous.
Inquiétude chez les chrétiens : Les bulles du pape sont mornes.
Inquiétude pour les religions : La chasse est ouverte aux sectes.
Inquisiteur surveille les vœux !
Inquisiteur, que trames-tu sadique ?
Inquisition : Brûler pour l'hanter !
Inquisition : le pape purifie ceux qui fêtent.
Inquisition : le pape purifie les têtes.
Inquisition : les "sorcières" sur le bucher criaient à l'Inquisiteur : "Prend mon cœur ému".
Inquisition : Les Templiers crachent en niant.
Inquisition : Tous ceux qui ont touché à la Crète s'en mordront les doigts !
Inquisition informatique : Ce jésuite trouva celle du bonheur parmi les sites.
Inquisition : Quelle glu, ces censeurs !
Insécurité : les fouilles des cailles.
Insensible aux crampes, le pape ne boude pas facilement.
Inspectez le germe.
Instauration de nouveaux troncs pour la mairie de Paris.
Interdit de masturbation, les prêtres sont incités à trouver la féminité en chacun d'eux...
Intéressé par Bonniche pour Mali.
Inviter le penseur à dîner.
Irrésistible attrait de la chine pour le Pakistan.
Isabelle la très catholique a fait détruire toutes les stèles ibériques sous l'Inquisition.
Israël recherche le terreau de la bible et se fait de la bible pour terre sémite !
J. César disait : « La Gaule aime le gros plant ».
J. Daniélou, vous qui fûtes cardinal en 69 : faut-il courir sur la moquette pour être canonisé ?
J. Hus –brûlé en son camp– eut son procès après une traque dans un concile.
J'ai connu bien des nonnes qui cavalent pas.
J'ai connu un chrétien envieux d'un mouton qui avait lâché le troupeau.
J'ai entendu le bruit des bottes qui s'enfilaient dans ce ministère.
J'ai fini par annuler ma petite enquête sur les contrepets...
J'ai l'arche de verbes.
J'ai reçu ce dieu dans le Perche !
J'ai reçu ce dieu ds le Perche !
J'ai rêvé de passer entre les fêtes.
J'ai souvenance d'un prof de maths qui parlait de la face de sinus.
J'ai su pour ta valve !
J'ai trouvé l'hameçon en cherchant dans son coeur.
J'ai trouvé un chant scout : "Le vent se lève et siffle".
J'ai vu Ali passer !
J'ai vu Blanche-neige verte...
J'ai vu des routards de la Bible supprimer dieu !
J'ai vu deux chrétiens.
J'ai vu l'abbé la veille.
J'ai vu l'agate, c'est chaud.
J'ai vu là ces matheux carrés.
J'ai vu la vierge de dieu et c'est moche.
J'ai vu le Cap dépouillé.
J'ai vu le dernier jésuite hier.
J'ai vu le grand âge hein de Marie chanteuse au ciel.
J'ai vu le pape Jean-Paul et Violette.
J'ai vu le Saint Caire et ses ponts.
J'ai vu les filles à Loth et Moïse.
J'ai vu les lumignons des curés pour Noël.
J'ai vu ses shows et ça gâte.
J'ai vu Tanis en Judée.
J'ai vu un bouquet sur le fond.
J'ai vu un pape infortuné.
J'ai vu un, deux… chrétiens.
J'aime bien quand votre frangin va habiter Madère.
J'aime bricoler chez le pasteur, j'y ai vu que Tron collait.
J'aime le Sudoku à la française.
J'aime le tabac des bons.
J'aime quand les chiens sentent.
J'aime quand mon jardinier dit : "ce "prônasse"" me turlupine.
J'aime regarder "ce corps aux monts" prometteur...
J'aimerai que vous leur donniez leur part.
J'aimerais écarter les ruches de cette vieille momie !
J'arrive, engin à fouir.
J'en connais des bulles papales.
J'entends d'ici les "fi" de la noblesse du contrepet.
Jacques à dit : "à la une, à la deux…".
Jacques a un sale nom.
J'admire les routes de votre Byzance !
J'adore les portes fines.
J'ai apprécié cet hosto de Brême.
J'ai appris que Bernard Gèze, il a trouvé un bob.
J'ai aussi vu la mer du Pérou !
J'ai beaucoup bêché pour dresser ces mégalithes.
J'ai bien aimé aussi la croupe à la sotte !
J'ai bien des reports: il a une si bonne mine.
J'ai bouffé dans la louche de la baronne.
J'ai cafté ces rillettes !
J'ai chopé la peste après avoir rêvé à ces voiles.
J'ai croisé l'abbé, quel sacrilège !
J'ai découvert un trou sur la Pique.
J'ai demandé à mon père des rondelles pour le bord.
J'ai des bédés pour ces pédants !
J'ai des rebords à mes épaulettes.
J'ai du tracas jusqu'au cou.
J'ai encore beaucoup de craintes sur l'Anjou !
J'ai envie de brancher un collet.
J'ai envoyé mon mot, ha c'est génial !
J'ai esquinté mon fendard dans cette petite grotte !
J'ai failli claquer pour la Russie !
J'ai fait le bossu cocu.
J'ai geint dans le vallon, réduite par les sondeurs.
J'ai glissé dans la piscine.
J'ai grosse peine, c'est à cause de cette bise...
J'ai inventé un trochée pour chaque !
J'ai la liasse mon chou, disait la femme en s'abritant sous le jaquemart.
J'ai laisse tremper ma botte dans votre citerne.
J'ai l'bonheur d'être aisé, nous confie le nouveau pape.
J'ai l'bonheur d'être aisée.
J'ai le bonheur d'être aisé.
J'ai le nom de la Russe sur le bout de la langue.
J'ai les jambes en béton : j'ai causé debout toute la nuit.
J'ai lésé Billy.
J'ai mis en perce un fut de Kummel.
J'ai mis la roche dans la baie.
J'ai mouillé cette carte.
J'ai observé sa FAT, c'était chou !
J'ai parcouru la pente en chutant.
J'ai passé le soda au mime.
J'ai pénétré dans la Grotte de La Mecque.
J'ai perdu la mort !
J'ai peur qu'il en perde sa belle mine !
J'ai pris ce Dédé pour votre père, hier...
J'ai pris la crêpe sur le ménisque, tu vois ?
J'ai proposé la bête à la Poste !
J'ai proposé la note à ces benêts.
J'ai pu déceler une nonne qui donnait à son cœur, un beau nom !
J'ai reçu ces bourriches dans les mains !
J'ai reçu un char de commandes !
J'ai rencontré ce pédagogue d'Aimé.
J'ai rencontré là Zorro papal.
J'ai revu le vieux lycée Ampère.
J'ai toujours peine à lire.
J'ai toujours un dur, pour le cas...
J'ai trempé ma botte dans votre citerne.
J'ai trouvé des revues sur la berge !
J'ai trouve ma femme les laissant faire.
J'ai trouve Marion les laissant faire.
J'ai trouvé une belle à Taizé...
J'ai un bobby à ma botte !
J'ai un chalet à Biot.
J'ai un éléphant incontrôlé dans la mante, s'écria la nonne.
J'ai un éléphant incontrôlé dans la menthe, s'écria la directrice du zoo.
J'ai une bigote, abbé.
J'ai une grosse frite dans mon bock.
J'ai une panne de micro et les parasites me brouillent l'écoute.
J'ai visité cette grotte : éléphantesque !
J'ai vu ce bon cahier !
J'ai vu ce gros Serge amputé !
J'ai vu ce père en curé avec une calotte.
J'ai vu ce séducteur, amant si dur !
J'ai vu ces deux cierges !
J'ai vu la berge des Vendées.
J'ai vu la mine du Pérou.
J'ai vu la population laborieuse du Cap.
J'ai vu l'ado du recteur.
J'ai vu l'air coquin de cet inquisiteur renard.
J'ai vu le néophyte et l'abbesse.
J'ai vu le pape "top" Trissotin.
J'ai vu le vieux lycée Ampère et je fus atteint de livides pensées.
J'ai vu les populations laborieuses du Cap.
J'ai vu notre Saint Pape en prière.
J'ai vu Patrick délassé.
J'aime au sortir du camp une longue pêche sous-marine.
J'aime beaucoup Sam, mais je la trouve trop pâle !
J'aime ce bon mot et vôtre pote.
J'aime fouiller dans les coins.
J'aime la biffe, mais pas en taule !
J'aime la bise, mais balaise !
J'aime la côte de maille !
J'aime la jolie couleur ronde de Mozart.
J'aime la Suisse, mais pas les couillons !
J'aime l'Afrique, mais je préfère le Balaton.
J'aime l'armée, mais surveillez l'alim !
J'aime l'astuce de l'anar !
J'aime le chant des mâts et les fêtes en Suisse.
J'aime le Gabon, mon bon.
J'aime le goût de ce petit blanc.
J'aime le pain, mais je préfère la vigne...
J'aime le son du cor le soir au fond des bois.
J'aime les chiens... séparés !
J'aime les durs et les flatte.
J'aime les fesse et les vante !
J'aime les mobs et les anges.
J'aime les poires si c'est pour dîner.
J'aime les quiches, mais bien mouillées !
J'aime les Sablons, bien que le Chaix ne m'intéresse pas !
J'aime me taper des blancs dans les gares !
J'aime quand les Russes sont en fête.
J'aime une longue pêche sous-marine au sortir du camp.
J'aime vachement ton frangin.
J'aime, au sortir du camp, les longues pêches sous-marines.
J'aimerais bien savoir jusqu'où ces joyeuses fêtes sont salées.
J'aimerais citer ces monnaies.
J'aimerais connaître l'extension de ces seins.
J'aimerais être cité à la Bourse.
J'aimerais fauter sans cesse !
J'aimerais la voir enfourner mon cheval, heureux !
J'aimerais prendre mon thé avec ces deux piétons.
J'aimerais rajeunir l'état de ma cloison.
J'aimerais un ponpon sur le pied.
J'aimerais une escalope avec une belle salade.
J'aimerais voir les dessins de cette Cathou !
Jamborée : Les éclaireuses aiment qu'on fête leur tente.
Jamboree : Les scouts fuient le cancre du chant.
Jamboree en Pologne : Jésus, le cri au stalag.
J'ampute la jambe.
Jan Hus l'a dit, c'est la fête en Suisse !
Janus s'est fait prendre son anneau.
Japonais-Nord : du feu.
J'apprécie le chant des grammaires !
J'apprécie un feu de poutre.
J'approche le cou du but.
Jardin du séminaire: l'aumônier militaire notait aussi les semis.
Jardinier, que sais-tu de la malice de la limace ?
Jasmine s'appliquait assidûment pour ses pains.
J'aurais cru que vos perles coûtaient davantage.
J'avais horreur des lobbies !
J'avale mult type d'éloge !
Je bafferais bien ces pouffes !
Je baffre devant l'avisée...
Je bute sur le jour...
Je cherche une blague sur le gant...
Je compte les fils et les ampoules.
Je connais bien la latitude de l'abysse.
Je connaît mon dû.
Je crains l'avidité des concierges !
Je danse comme un ballot.
Je défausse sur ces grecs !
Je dis "chameau" devant cette poule !
Je dis zut à ce vieux Job !
Je donnerais bien ma paie pour avoir votre rubis.
Je doute de la sûreté de ce palot !
Je dresse ma bête à lire.
Je fais un cottage de peu...
Je gémis sans lutter.
Je l'ai quitté en bafouillant.
Je l'ai quittée avec mon raki !
Je l'ai vu ce papet des types.
Je l'ai vu, ce papet des types !
Je laisse ma verve aux jachères.
Je le pèse ou l'emballe se demande le jésuite !
Je les quittés près du but !
Je leur changerais bien le mat !
Je lui ai confié la chasse.
Je lui offrirais bien mon lard pour la dîme !
Je mangerais bien le quart de ce douillon.
Je manie le béton à la tonne.
Je me sens léger à Chantilly !
Je me suis éclaté la panse en dînant.
Je me suis offert un anis sur la butte.
Je me suis payé le lot de culottes pendant les soldes !
Je me suis perdu dans la rue du quai.
Je me suis trouvé ce joli PC à crédit !
Je m'en doute que la Religion recule !
Je m'en vais en Loire.
Je m'intéresse aux mâts pour les changer.
Je munirai cette lame d'un beau manche en fer.
Je n'ai plus debout au goulot.
Je n'aimai que la faire fouiller.
Je n'y résiste pas : Il paraîtrait qu'à l'idée de voir la Chine, Ségo fut envahie d'une étrange pâleur !!!
Je n'ai pas de rebords à mes épaulettes.
Je n'aime pas les fausses grilles.
Je n'aime pas les mythes boches.
Je n'aime pas trop le ton de cette Rika !
Je n'aime pas voir passer les mines des gens guindés.
Je n'aime pas vos robes à losanges.
Je ne banquerai que lorsque j'aurai vu votre don !
Je ne crains pas que les absentes, dit le pope.
Je ne fais que bisquer, c'est un rite...
Je ne pourrai vous masser qu'une fois entre les fêtes !
Je ne rêve que de fées et de rentes.
Je ne sens que dalle dans mon futur !
Je ne te cache pas que j'aime aussi les bêtes.
Je ne veux pas de robes quand j'ai mes aigles.
Je passe aussi les mots !
Je pèse Alice et ensuite je pèse Aline disait ce toubib.
Je peux vous aider à brancher les colonnes...
Je plains le flot du Rhône où se peint son image...
Je pleurais parce que tu m'avais promis ton tennis.
Je préfère ce simple Anjou au jus de la treille qu'on met en boutique.
Je préfère clapper que m'envoyer du coca !
Je préfère la miette à la sotte !
Je préfère la panne à la grippe !
Je préfère le Glaz au chant.
Je préfère les mines de Pompéi aux sites de Bologne.
Je préférerais subir des assauts de pique-assiettes.
Je prendrais une boite de riz, se dit la supérieure, pour mon goût charmant.
Je prends la pause, c'est pour dîner.
Je prends la russe sous cette bannière !
Je quitte la bête !
Je quote aussi les plombs !
Je refuse ce bout de chair calamiteux !
Je regrette que ce balcon saille.
Je rêve de dîner avec Polly.
Je reviens, ma Tessie !
Je sais aussi faire des contrepets pour enfants : Contrepets non capillotractés :.
Je sais la beauté de vos hivers ?
Je sens que votre Paul s'affine.
Je serais bien allé en Amérique Latine, mais j'ai toujours été nul en latin.
Je skie devant le château.
Je souhaite que la vierge t'aide, mon fils.
Je suis dans la famille, envoyez les fines !
Je suis emmêlé avec cette corde !
Je suis ému par la candeur de ces grues.
Je suis le son dans sa course.
Je suis rentré dans la cuisine du moine, quel trou !
Je suis russe, il faut que tu me cèdes.
Je te donne ma croûte à pâté.
Je te donne une phobie pour ça !
Je te laisse ce contretemps pour saper...
Je te laisse le choix dans la date.
Je tirerais bien les tarins à ces cathos !
Je tournai vaguement ma peine vers mes livres.
Je tournais ma peine vers les livres.
Je tricote si peu !
Je trinque pour ma mie.
Je troque malgré mon fric !
Je trouve ces prêcheurs laids.
Je trouve des réducs...
Je trouve que Mâcon a un drôle de nom.
Je trouve que votre jarre sent le soda.
Je vais chaque fois à la messe.
Je vais en Islande pour l'affaire...
Je veux un but, et médical !
Je vois des nymphes qui dégustent plein de pinot.
Je voudrais confesser la presse !
Je voudrais consoler la peine des Lorettes.
Je voudrais coucher, dis-tu !
Je voudrais dépouiller cette Laurette !
Je voudrais la bouffer, cette rillette !
Je voudrais savoir, en cas de pluie, si les corps mouillent au ciel.
Je vous ai menti sur la sotte !
Je vous ai vu plonger tous les trois dans le Doubs.
Je vous envoie dans la culture.
Je vous laisse le choix dans la date.
Je vous le pèse et vous l'emballe ?
Je vous passe cette revue dans le but !
Je vous présente les félons d'Erato.
Je vous salue Marie queen pleine de grâce.
Je vous trompe si vous me poussez.
Jean cale devant les consuls.
Jean Luc le responsable système.
Jean Luc Les Mouches.
Jean Paul II et Carine.
Jean sort de l'Ecole des Mines de Paris.
Jean Valjean n'a jamais laissé fouiller sa cantine.
Jean XXIII : en feu, le Nonce.
Jean, l'apôtre que jésus aimait était le plus doux des péchés du christ.
Jean, quel abus.
Jeanine aime cliquer...
Jean-Louis après Noël.
Jean-Louis au nouvel-an.
Jean-Luc nous brouille l'écoute.
Jean-Luc, le Président.
Jean-Luc.
Jeanne d'Arc a échangé sa cotte d'émail.
Jeanne d'Arc a été destituée jusqu'à son procès.
Jeanne d'Arc aimait les voix de dieu.
Jeanne d'Arc applique la bibine fuyant la déroute.
Jeanne d'Arc fut fêlée après ses révélations.
Jeanne d'Arc jouait au base-ball, lors de sa crémation, elle sentit flancher sa batte.
Jeanne d'Arc s'est dénoncée au feu.
Jeanne d'Arc, belle jeune-fille aimait-elle les frites ?
Jeanne d'Arc : les voix languissent !
Jeanne d'Arc a présenté son mât au chef des archers car elle n'aimait pas qu'on batte son mouton.
Jeanne d'Arc a présenté son mât au chef des archers.
Jeanne d'Arc avait une cotte de mailles.
Jeanne d'Arc fut impressionnée par l'éviction du grand Gilles de Rais.
Jeanne d'Arc se rend vite acculée.
Jeanne en route pour le bûcher n'a connu que l'humour des dards.
Jeanne revenait de la ferme pleine d'espoir jusqu'au pont du Jura.
Jean-Paul II disait en privé : "Après Varsovie, les chars vont et viennent dans Madère".
Jean-Paul II ne voulait pas souiller les conclaves !
Jean-Paul le pape orthodoxe.
Jean-Paul le pape...
Jean-Paul, c'est une fière...
Jean-Paul, le pape hautain.
Jehanne d'Arc : « Ce bâton d'évêque ne vaut pas un liard ».
Jehanne d'Arc voit la croix.
Jehanne délaissée connaissait la faiblesse du flanc des anglais.
Jehanne, jeune bergère montrais son mouton au bois.
J'en ai seize et des beures.
J'entend votre épi pousser...
J'envie votre brasse.
J'essaye en vain d'emballer cette pelle !
Jésuite : ce damné passe entre les faits.
Jésuite : la bête pousse au crime.
Jésuite : Si tu es guéri, ton office accueillera des chants libres à la paroisse, Fred.
Jésuite as-tu vu le pape chalouper sur le Tibre.
Jésuite au corps des nues.
Jésuite, les beaux mythes te mettent-t-ils l'eau à la bouche ?
Jésuite, prends garde aux dures luttes à Tanger.
Jésuite, promettre un feu d'enfer ne risque-t-il pas de dénoncer un pauvre diable ?
Jésuite, qu'est-ce que vous trichez au football !
Jésuites criez : "sus" pour aller dans l'annexe.
Jésuites faites attention aux sites qui vous bernent.
Jésuites, si vous entendez un grand "sus", mettez-vous dans cette annexe !
Jésuites, vos expressions sont dans le faux.
Jésuites, votre traduc ne vaut pas un chou !
Jésuitisme : Pour le pape, les fidèles de ce boyau-là sont l'élite.
Jésus : le vivant des cieux.
Jésus a dit : " En croix, ils m'aduleront ! ".
Jésus a dit : " Je serais une dépouille aux Pâques ! ".
Jésus a dit : " Je suis le salaire de la peur ! ".
Jésus a dit : « En croix, ils m'aduleront !
Jésus a dit : « Je serais une dépouille aux Pâques !
Jésus a dit : « Je suis le salaire de la peur !
Jésus a dit : en vérité, je vous le dis les trois mythes vous abusent...
Jésus a dit à ses apôtres : « Je sais qu'on met des notes bien mises ».
Jésus a multiplié les pains et les roussettes.
Jésus a pu voir de bien belles fêtes avec son ânesse.
Jésus a vu saint Pierre buté sur son Jean.
Jésus aimait à aller pêcher dans l'étang.
Jésus aimait la marotte de l'ami.
Jésus aimait les potes aux mages.
Jésus a-t-il noyé sa peine dans l'anis ?
Jésus a-t-il ressuscité des impôts.
Jésus au jardin des oliviers se dit : "beaucoup de troncs à couper".
Jésus au Jourdain : Un verbe à la berge.
Jésus au tombeau, la mine du port serait la déroute du biffin.
Jésus aurait-il partagé le pain d'épeautre.
Jésus aurait-il pu dire : Laissez venir à moi les langés cathodiques.
Jésus avait-il un cerceau dévot.
Jésus c'est Daisy, si !
Jésus chassa sans hâte les marchands du Temple faisant fi de leur fric dans l'attente.
Jésus chiquait au nom de Marie-Magdalène.
Jésus condamné connaitra la peine.
Jésus connait la molette du carilloniste.
Jésus culbuta tous les bardas dans le Jourdain.
Jésus dans la rue caressait son ânesse.
Jésus disait toujours à ses disciples : Pierre dans le fond !
Jésus dit à Pierre.
Jésus dit à ses apôtres : Je brique, taisez-vous !
Jésus dit à ses disciples : Vous, pêchez-là !
Jésus dit a son disciple favori : "Tiens encore un Don !".
Jésus en suaire sentait la peur.
Jésus endort le pape Théophile affectueusement.
Jésus enfant, c'est l'affaire de la vierge.
Jésus est mort, le légionnaire Longinus a passé le mot à Marie-Madeleine.
Jésus est tombé sur le chemin de croix, cette sale chute aurait dû faire recaler l'Eglise !
Jésus et ses disciples : quand ils bossent, c'est à treize.
Jésus faisait ses ablutions dans le rude maquis, Magdalène.
Jésus fit un grand pas avant de parler de son message.
Jésus fréquentait-il les bours au jardin ?
Jésus imposait la main sur les crânes des hôtes.
Jésus lâcha quelques fêlés durant sa Passion.
Jésus lavait son pouf au fond du jardin.
Jésus lavait son pouf dans le jardin.
Jésus le dit à deux femmes : je suis ressuscité.
Jésus leur dit : « Je suis le pain des cathos ».
Jésus leur dit : ceci est mon prix, venez !
Jésus loue le droit d'ainesse à sa base.
Jésus n'a pas eu assez de pub comme littérateur de l'ancien testament.
Jésus n'a pas oublié de présenter la noce défaite.
Jésus ne voit que Marie effarée dans le Jourdain.
Jésus offrît des fleurs à Marie-Madeleine pour l'appellation divine.
Jésus parcourait les routes en mule.
Jésus parlait, au sujet de Pierre, à Marie des joies de tavernes.
Jésus parlant à Marie-Madeleine : « Cette rubrique pousse à lire ».
Jésus parle souvent de sa botte à piles et mentionne sa botte à pitres.
Jésus partant au désert Marie lui dit : Conseil maternel, évite ces friches !
Jésus petit, la vierge Marie veut le sourire au nain.
Jésus poursuivait les lâches sans aucune démission.
Jésus prêchait à ses disciples, s'adressant à Marie-Madeleine, il était en face de la poutre...
Jésus prêchant en forêt : "belle coupe de troncs...".
Jésus prêchant sur les rives du Jourdain parlait souvent des harengs de mamie.
Jésus prisait l'odeur de sainteté des martes.
Jésus rejoint la base de ses disciples sans haine.
Jésus rendait son bock devant les Marie.
Jésus s'adressant à Marie-Madeleine « Enfin, un cas sucré !
Jésus savait-il que l'aveugle aime sentir le vent ?
Jésus se déplaçait assis sur un ânon mais les jésuites préfèrent le cas des mules.
Jésus se régalait avec des cailles au Jourdain.
Jésus se tue sur le corps de Marie-Madeleine.
Jésus séduisait les gens avec sa verve, disant aussi que sa verve est la joie royale.
Jésus sur la croix : "Père, je gémis sans luter".
Jésus va à la fête avec son ânesse.
Jésus vantait souvent la bote des élites.
Jésus voulait que ses apôtres pêchent avant de braiser.
Jésus voulant embrasser Juda a pris l'apôtre en pleine face.
Jésus, c'est l'affaire de la vierge.
Jésus, c'est l'enfant de la mer.
Jésus, c'est le "fléau" du douze.
Jésus, détresse de la base !
Jésus, en bon menuisier, signe sa boîte.
Jésus, en droit, tenait son quart.
Jésus, en triste menuisier utilisait-il la kapok.
Jésus, je veux ta gloire sur mon sang.
Jésus, joie des rigolos.
Jésus, Marie relit son texte où se déjouera sa verve !
Jésus, notre berger a des houlettes râpées et aimait les ovations félines.
Jésus, vu, c'est les cieux.
J'étais en face de la poutre.
Jeter l'habit rouges aux ortie.
Jeu de fait, fait de tresse.
Jeune homme, ces crampes vous font-elles bouder ?
Jeunes-femmes, n'oubliez pas vos trousseaux pour les bals.
Jeux de marin, prendre une rame et la bouffer.
J'examine la fonction du page...
J'exige le montant du de cette carte !
J'habite l'étang.
J'ignorais que Richard était l'auteur d'une belle thèse.
JO : le ban des anglaises.
JO terminés : Pour les sportifs, fini les flans anglais.
JO : Les trois bleus du javelot.
Job priait, dieu lui répondit : "Zut, Vieux Job !".
Jolie baie que grossir les foules.
Jolie en soirée avec son flip.
Jolie pépée, cache ton dos si tu ne veux pas qu'on te jette à la rue !
Jolies tranches dans le mou.
Joseph a maculé Henri.
Joseph aimait le climat torride.
Joseph aimait le riz de Mâcon.
Joseph a-t-il eut les mines de Marie ?
Joseph diésait comme un bœuf mais l'histoire n'a rien retenue des autres enfants de Marie.
Joseph disait à jésus : "Tu as plinthes et les sceaux ?".
Joseph épris de sa Marie, c'était un mordu.
Joseph est fait cocu par sa marie.
Joseph prend les scies à la sœur du rabbin.
Joseph trouve qu'il est agréable de rouler un matin à Paris !
Joseph, le menuisier, sort de la foule et répand ses poutres.
Joseph, le menuisier, utilisait des robots de canards.
Joseph, père nourricier de jésus lui parlait souvent de son bois pour les chaises.
Joséphine ramenait l'Aiglon à son camp.
Jospin montrera sa piste à la nation.
Jospin tique dès qu'on lui parle d'Or Vert.
Jospin veut passer en Corse mais s'affole partout (Il ne veut surtout pas peiner les Corses).
Jouable, ce sacré morceau de Lulli !
Jouant à colin-maillard les guides ont leurs bâillons sur le cou.
Jouant, les éclaireuses se demandent à propos de l'une d'elle s'il faut l'agrafer dans la tente.
Jouer aux fous entre ses tresses.
Jouer c'est rôtir en enfer ! disait ce prédicateur.
Joueurs : les fibres d'échecs !
Jour de Fête.
Jour des rameaux : Jésus avait un rameau nu sur le cœur.
Journée Croix-Rouge : quête aux feux.
Journée du souvenir : Le pope et les départs à Sion.
Judas a-t-il raflé la pêche du seigneur ?
Judas eut mal au foie, après avoir dénoncé jésus.
Judas parle du tennis du grand prêtre.
Juger c'était t'acculer.
Jules Verne à la bibliothèque des nonnes.
Jules Verne en trophée.
Julie attrape facilement les pommes de Catherine.
Jupiter aimait caresser l'âne de Bacchus en musique.
Jupiter exigeait que Junon batte Saturne.
Jupiter luttait contre Janus.
Jurer la main sur le cœur, les curés pédophiles n'ont pas pu.
Juron : Oh le beau parvis bleu !
Juron de jésuite : " Pur le calibre !
Juron de moine : "Patin de culotte" !
Jurons pour les luttes.
Justice bafouée : la peur de la justice.
Justification de l'Eglise fort véloce : La foi et croire.
Justification de la misogynie de l'Église : « tu as une petite mine, Paul ».