Les Contrepèteries de JSGC

V-Z...

Va coucher, matheux !
Valentine n'aime pas le marc trop doux, en revanche elle aime un bon coup de marc après une bonne dînette.
Vatican : La peur siégeait, offrant son Q.I. à vue.
Vatican : Les taupes se font de la bile.
Veillez à ce qu'on ne soit pas noyé par les cours.
Venant de La Rondelle (86), les Jésuites se donnent un but et savent, qui sait !
Vendez bien.
Venez à la messe avec foi.
Venez faire des escalopes avec une belle salade.
Venez goûter ce riz !
Venez vite ! Des bretonnes vont présenter leurs potes malouins.
Venez voir les chambres illuminées.
Vente d'indulgences aux femmes : Le vieux curé en vendait ambitieux.
Vente de cierges ou la foi de la vente.
Verglas : Coupé ça déraille.
Verglas : Un catho a glissé.
Véritable conte de fée, les religions nourrissent une nation.
Vérité religieuse : Noël, c'est la mère de dieu l'enfant et les bergers chantaient la terre.
Verlaine et Rimbaud : En curé, ces poètes pouvaient limer.
Véro, méfiez-vous de la Caroll !
Verra-t-on en enfer : "Prier un gueux".
Verra-t-on inscrit sur la papamobile : "Élite à bord" !
Verra-t-on le bout des petites culottes.
Verra-t-on le boutre du four du Vatican ?
Verres ébréchés : Le pape et la célébration des fêles.
Verrons nous le jour où il faudra une calotte pour pécher ? En attendant, cintrons ces chapelets !
Vers les 17 heures, quelques sottes commencent à mentir.
Vers les années 1956/63, il semblait difficile de séparer les crouilles des biques.
Vêtements civils pour les religieux, pourtant, les moines n'en payent pas leurs coules.
Veuillez l'excuser, le Pape n'est pas frais !
Viande chevaline surgelée : Les écuyères sur le dos des cathares.
Victoire du pape jésuite : qu'il la fête aux messes.
Victor Hugo a-t-il aimé le jus de sa petite Cosette ?
Victor Hugo a-t-il mangé les nouilles de son cocher ?
Victor Hugo avait-il vraiment l'entrain de Javert ?
Victor Hugo bossait fort ses quatrains.
Victor Hugo nous l'a laissé entendre : Quasimodo était (né) le jour du seigneur de l'art !
Victor Hugo recherche une dosette pour son quart.
Vide-greniers : Faut-il inviter les filles du patelin à chiner ?
Vider ses douilles sur un crapaud.
Videz les fouilles et la came n'est pas loin !
Vie au couchant, la nonne cuit, elle ment c'est décembre.
Vieille drogue au goût du jour : la sauce à fumer.
Vieillesse infamante, le pape redoute les gares.
Viens sécher ton linge.
Vieux lapin en curé.
Vigoureuse et silencieuse, sa belle-fille est crue et bonne.
Vin de messe : ce curé prend un godet de blanc.
Vin de messe : le vieux curé veut nous montrer son fût.
Vin nouveau : Le curé, pinardophile se demande comment saqué ce cru.
Violence : Les profs devront-ils faire des cours sur les disputes ?
Viollet-le-Duc amputait les voûtes : il a su créer bien des mauvais projets.
Virginie prend les bols.
Visages défigurés : Pas de spectacle de nez d'odieux.
Vise la bête et envoie-la vite à l'abbé.
Vise la bête, et envoie la vite à l'abbé.
Vishnou le laid !
Visitant les égouts de Paris, cette sœur est restée méditer devant la taille des buses.
Visite de la reine de Saba.
Visite guidée de la cathédrale : après ces voûtes, on presse.
Vite l'édit de Nantes, c'est bien ?
Vite Monsieur Dassault, une petite fait l'avion avec votre Serge.
Vite, une dure lutte ?
Viticulture : Le mout troyens.
Vivant dans les catacombes, les premiers chrétiens retrouvèrent leur clan dans la grotte.
Vive De Gaulle !
Vive l'écheveau serf.
Vive la bière dans les abbayes : La mousse endort.
Vive la fève, un produit dans la croûte.
Vive la France, malgré la paresse !
Vive le boucher, il a évité ce paludisme.
Vive le chauffage de Sarko.
Vive le printemps et l'éthique du binage.
Vive les vacances : Les moteurs et la flatte.
Vive l'évêque de Metz !
Vivement l'anthrax pour les sectes !
Voeu de divin.
Vœux de silence : les nonnes se taisent bien entre elles.
Voici des guides pour les gloses.
Voici et va aux cieux !
Voici la bannière demandée.
Voici la Venise des dieux.
Voici le curé s'affaire dans la pente...
Voici le tout de mon cru !
Voici les fines d'école.
Voici les puces de Saint-Paul.
Voici l'hiver, sortez vos bottes.
Voici, docteur, un joli cou à trachée.
Voici, Monsieur le Curé, la bannière demandée.
Voilà de bonnes bases pour renforcer vos dires.
Voilà déjà vingt francs.
Voilà des bolets que j'appellerais volontiers avides !
Voila des messes bien fichues.
Voilà encore deux pinsons de nichés !
Voilà la bouffe, les moines se taisent au réfectoire.
Voilà la neige, ce jésuite montre son verre.
Voilà la Noël, neige en hiver, mettez vos bottes, moi, les flocons, ça me gratte.
Voilà l'élite des barons pour l'élection du baron rouge.
Voilà que tu dors comme un noir, après avoir trouvé l'allégresse.
Voilà une chose qui me fait prier.
Voilà une jolie terre qui demande l'averse.
Voilà, comtesse, le basson russe.
Voile de plaisance : Charlène aime caresser son mât.
Voir au couvent cette abbesse qui s'occupe des tifs des jeunes.
Voir ces culminances et...
Voir des clientes de sitôt.
Voir en curé ce vieux lapin.
Voir l'archange Gabriel sans penser : Drôle de mine pour Paris !
Voir l'Inquisition écrouer, des sorcières, la troupe.
Voir la fée de l'attente.
Voir la goule de Jehanne au crapaud.
Voir le christ en lute pour ces propos.
Voir le curé des bouts au champ.
Voir le QI d'une femme nue.
Voir les filles de Carthage nues.
Voir les messes de face et penser au servant, canard trop gros.
Voir les pages sur la verve.
Voir les rosières sur les ponts.
Voir ma marraine Brigitte quand elle emploie la bannière de la russe.
Voir Ségo les laissant faire sans rien dire !
Voir un ami voter.
Voir un peu du concile à Nicée.
Voire s'accrocher aux maths.
Vois comme t'aimes les cajuns !
Voiture romaine : Spark Athus.
Vol de cierges dans l'église : le bedeau enquête et recule.
Volé de cloche, Benoît seize : le bonheur.
Vos âmes ont-elles apprécié ma daube ?
Vos chèvres me font penser à la Walkyrie.
Vos fèves sont rassies.
Vos fils raffolent des petites bêtes...
Vos PC sont pleins de vis !
Vos petites chèvres me font penser a la Walkyrie.
Vos petits délits sont vicieux...
Vos tresses m'empêchent de voir le football.
Vote impie !
Votes omis pour l'élection des parques.
Votez pour l'esprit de conquête !
Votre bois va-t-il bien jusqu'au Doubs ?
Votre but sent le canon !
Votre calice est plein de cassis !
Votre chair déborde de votre short, mon père !
Votre compère à l'air d'un saint.
Votre femme s'est-elle habituée à la vie de la butte ?
Votre foi étonnante.
Votre gauche est plutôt molle !
Votre gîte, quel boyau !
Votre grande Chine est en peine !
Votre kit est en bois ?
Votre latte a-t-elle été assez bien séchée ?
Votre mage a droit aux chopines.
Votre Mamy aime être sur ma belle route remarque le curé du châtelain.
Votre Mickey est bon pour la tinette !
Votre orgueil est vraiment démesuré, s'écria-t-elle d'un âne effarouche.
Votre paire est minable !
Votre pape fait-il un pape facho ?
Votre part est coudée ?
Votre pelle est emballée.
Votre père a l'air mutin.
Votre poire a un petit goût de terrine.
Votre pose a raidi l'échine.
Votre recteur est un grand bonhomme !
Votre Sainteté, vos messes méritent qu'on les fête.
Votre site est envahi de pub...
Votre site me botte !
Votre tennis est bien propagé.
Votre Tito était-il à clé ?
Vôtre truc, c'est du flan de galène ?
Votre truc, c'est un vrai rite !
Votre vieille bique réclame encore de la Tatin.
Vouée au nid, l'ornithologue se sent méditer devant cette belle buse.
Voulant apprendre à nager aux scouts, l'aumônier les accule à l'étang.
Voulant contrôler l'info, Sarko se méfie de la gauche qui lit.
Voulant éloigner les livres de la bête, les nonnes les ont mis au feu.
Voulant éviter l'Inquisiteur, le cathare disait : "Je fuis dans la sente".
Voulant financer, le pape nous accule pour entasser les pécules.
Voulant mettre son ampoule à la douille, le moine commença par brancher son culot.
Voulant plonger entre deux fosses, le parachutiste a glissé sur la crête.
Voulez vous faire une escalope avec une belle salade ?
Voulez-vous boire ca vite, ou préférez-vous un truc doux ?
Voulez-vous compter mon tas ?
Voulez-vous encore un peu de fine ?
Voulez-vous les cierges ! ?
Voulez-vous Mademoiselle, des nouilles encore ?
Voulez-vous que je vous envoie dans la culture ?
Voulez-vous un guide, Moshé ?
Vouloir mettre la Chine au pas, n'est-il pas tout simplement vouloir mettre le feu à l'Annam ?
Vous agacez mes roussettes avec vos bouts de pain...
Vous aimez l'Epire ? - Quel honneur !
Vous aimez les porcs: videz leur fine.
Vous apprécierez mieux ces logs sous la lampe.
Vous avez encore mussé le citron.
Vous avez plongé tous les trois dans le Doubs ?
Vous avez pu lâcher cette pauvre fille après avoir ainsi tentée à la fête !
Vous avez une bien belle gerbe, Ovide !
Vous avez une grosse cote, ne vous bilez pas !
Vous avez vendu votre terre.
Vous avez vu tous ces bâtons sur ce pouf !
Vous banquiez ? Et bien douillez, maintenant !
Vous boirez en faunes !
Vous confondez les câbles avec les rues ?
Vous dont le verbe s'est fait cher, faites que jamais nos mots ne s'avilissent !
Vous enviez ma boîte ?
Vous envoyez trop de spams dans la ferme.
Vous êtes la bienvenue, marquise aux abords giboyeux de nos sites.
Vous me conterez la bible.
Vous n'allez pas miner avec cette petite pioche ?
Vous n'allez tout de même pas miner avec cette petite pioche.
Vous ne devriez pas tricher avec ce couple idiot.
Vous ne pouvez pas vous empêcher de vous défiler ?
Vous péchiez avec un scion !
Vous priez la rose des contrepets.
Vous racolez des fonds véreux ?
Vous songez censurer !
Vous trouvez ca beau, Magritte ?
Vous vous ferez griller en enfers, ce n'est pas un bon plan.
Voyage : La bonne mine du palais.
Voyageant, le pape mentionne la pathologie d'escales et son médecin, envisage la pathologie d'escarres.
Voyant passer les sœurs, ce prêtre s'écrie : "Chinons mes frères !".
Voyant une bible et s'alignant sur la sœur, ce moine mit la main au pavé.
Voyez ce calumet !
Voyez ce caméléon sur le pont.
Voyez ce quai, me dit-elle bourrue !
Voyez ces chrétiennes : Quel troupeau mes chers !
Voyez ces débits en vocal !
Voyez c'est sans faille, l'Emile !
Voyez des qualités d'or l'abbesse des phraseurs !
Voyez donc ces bulles qui sortent de votre valves !
Voyez la glace de Rome.
Voyez la maîtresse, les laissant faire.
Voyez la philanthropie de cet ouvrier charpentier ...
Voyez la taule de ce pingre !
Voyez la véracité historique des saintes.
Voyez les banquets, les deux !
Voyez les grands habits des zones.
Voyez leur der aux pieux.
Voyez sur le pont ce caméléon.
Voyez tous ces gueux pour les camps.
Voyez-vous ce gourou qui quêtait en pull !
Voyez-vous le train du Vatican ?
Voynet : "Ne renoncez pas à la flore, députés !".
Voyons les bons côtés de la vie !
Vraiment, vous bouderez chaque fois que je vendrai ? !
Vu à l'entrée d'un village de Haute-Savoie : "Messes à Faverges".
Vu au repas de la noce : La diva sert l'amande au dessert.
Vu les malheurs de novembre, la femme du fossoyeur aime décembre pour ses mains.
Vu son âge, on comprend le pape qui lors de ses bains de foule dit : "fi du vin".
Xavière : "J'aime le chef de mon Paris.".
Xavière demande à son gentil chéri de lui mettre son bas.
Xavière, complètement fêlé depuis cette isolation infligée à son Jean, n'est plus consultante. Elle n'apprécie pas les Chirac, mais tient à la propreté de ses bottes et ne peut pas voir l'expert des Vosges alors que son nain se trouve dépassé.
Y a des bruits de bottes qui passent dans le ministère.
Y a-t-il des mousses sur les péniches.
Y a-t-il des pirates sur la soupe ?
Y a-t-il des rabbins au Cathay ?
Y a-t-il des suaires pour obèses dans les catacombes ?
Y a-t-il encore des drames au Congo ?
Y a-t-il pénitence pour le pécheur qui pèche au lieu-dit.
Y aurait-il débat sur les trois mythes ?
Y avait-il des fibres de chair sur les croix ?
Y'a un panne de micro dans la pièce du fond.
Y'a une tourte aux cailles.
Yannick Noah a un tennis prévisible.
Ya-t-il des failles dans les caisses du pape ?
Yom Kippour : La mendiante qui quête au grand parvis reçoit un don.
Yvette, c'est pas prêt !
Zaza me damne le midi.
Zeus ne supportait plus la conspiration d'Etat.
Zola n'a pas osé envoyer ses Rougon en stage.
Zoologie : découverte du crabe radeau dans la cantine.
Zorro avait des traces de rouille sur sa cape, hier.
Zut, ce gant blesse.
Zut, j'en ai marre de ces joutes.